Les soldats du Québec morts en service
Qui sont-ils?
Où reposent-ils?
Ils étaient dans la fleur de l’âge. Ils étaient courageux diront les uns, téméraires diront les autres. Quoi qu’il en soit, n’eût été de leur sacrifice, le monde ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui.
Prenez note que ce site est en construction. La base de données n’est pas complète et de nombreuses photos reçues n’ont pas encore été intégrées.
Au Québec, nous estimons à environ 12 000 le nombre d’hommes et de femmes qui ont perdu la vie en service depuis la guerre anglo-américaine de 1812 jusqu’à aujourd’hui. Nombre d’entre eux étaient à peine sortis de l’adolescence. Ils ont combattu avec courage, loin des leurs et dans des conditions lamentables.
Hélas, les soldats décédés lors des Première et Seconde guerre mondiale ont reçu peu de reconnaissance au Québec. Ainsi, plusieurs de ces héros sont aujourd’hui d’illustres inconnus pour la nation québécoise.
Nous entendons par soldats québécois toute personne (homme ou femme) née au Québec ou habitant au Québec au moment de son engagement, ou encore qui y a été inhumée.
En plus de rendre hommage à nos disparus, cette base de données se veut aussi un outil pour la recherche généalogique. Les sépultures des militaires inhumés outre-mer ne figurant pas dans les registres de l’état civil québécois, il est parfois difficile de savoir ce qu’il est advenu d’un quelconque parent disparu à l’époque de l’un de ces conflits.
Sources
Pour les soldats des Première et Seconde guerre mondiale, les informations contenues dans cette base de données proviennent majoritairement des sites Web du Mémorial virtuel de guerre du Canada et de la Commonwealth War Graves Commission ainsi que des dossiers militaires de ces soldats. Aussi, afin que les chercheurs soient en mesure d’avoir accès à toute l’information disponible1 , des liens vers leur dossier (sur le site de Bibliothèque et Archives Canada pour la Première guerre mondiale ou sur celui d’Ancestry pour la Seconde guerre mondiale) ont été ajoutés. Pour les membres de la Marine décédés à la suite du torpillage de leur embarcation, nous avons ajouté des liens vers le site Uboat.net pour connaitre les circonstances de leur décès, étant donné que leurs dossiers ne sont pas accessibles en ligne.
N’hésitez pas à nous faire part de toute correction qui devrait être apportée à cette base de données qui est en constante évolution.
1 Prenez note que le dossier papier consultable aux Archives nationales du Canada à Ottawa contient généralement davantage de documents.
Quebec soldiers died in service
Who are they?
WHERE DO they REST?
They were in the prime of their life. They were brave, some will say, incautious will say others. Had it not been for their sacrifice, the world would not be what it is today.
Please note that this site is under construction. The database is not complete and many of the photos received have not yet been added.
Unfortunately, the soldiers who died in the First and Second World Wars received little recognition in Quebec. Thus, many of these heroes are illustrious unknowns. With the desire to pay them tribute, Paul-Émile Richard and Josée Tétreault combined their skills and expertise to build this database.
We determine Quebec soldiers as: any person (male or female) born in Quebec or living in Quebec at the time of their enlistment, or who are buried in Quebec.
In addition to honoring the memory of our deceased, this database is intended to serve as a tool for genealogical research. Bearing in mind that the graves of soldiers buried overseas do not appear in Quebec’s civil registers, it is sometimes difficult to retrace the relatives we lost in these conflicts.
Sources
For soldiers of the First and Second World Wars, the information contained in this database comes mainly from the Canadian Virtual War Memorial and the Commonwealth War Graves Commission websites as well as from the military records of these soldiers. In order for searchers be able to access all available information1 links to their files (on the Library and Archives Canada site for the First World War or on the Ancestry site for the Second World War) have been added. For navy members who died as a result of the torpedoing of their boat, we have added links to the Uboat.net site to find out the circumstances of their death, since their records are not accessible online.
Do not hesitate to let us know of any corrections that should be made to this database, which is constantly evolving.
1 Note that the paper file available at the National Archives of Canada in Ottawa generally contains more documents.
Le coquelicot : la commémoration
Au champ d'honneur, les coquelicots... Sont parsemés, de lot en lot... Le poème
Lorsque le Lieutenant-colonel canadien John McCrae a rédigé ces mots profonds au printemps 1915, durant la deuxième bataille d'Ypres, il n'aurait jamais pu prévoir que ces fleurs rouges auxquelles il faisait allusion deviendraient un symbole aussi puissant et inspirant. Grâce à son poème, les coquelicots sont rapidement devenus le symbole de la gratitude et de l'espoir pour les anciens combattants et les survivants de la Première Guerre mondiale.
Des coquelicots fabriqués à la main ont été vendus pour la première fois en 1920 par une dame française, Madame Guérin, afin de recueillir des fonds pour venir en aide aux enfants orphelins des régions françaises dévastées par la guerre. Suivant son exemple, l'Association des anciens combattants de la Grande Guerre (prédécesseur de la Légion royale canadienne) a officiellement adopté le coquelicot comme symbole du Souvenir en juillet 1921. Ses premières fleurs de coquelicots fabriquées à la main ont été vendues en novembre 1921 et tous les profits amassés ont été versés aux anciens combattants blessés.
De nombreuses décennies plus tard, la tradition de porter un coquelicot en guise de respect et de remerciement envers ceux et celles qui ont porté l'uniforme se poursuit tant au Canada que dans de nombreuses autres régions du monde.
Pour en apprendre plus sur le symbolisme du coquelicot, consultez la Campagne du coquelicot de la Légion royale canadienne.
Réf.: https://www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/commemorative-events/garden-of-remembrance/flower?fbclid=IwAR2xdSEnV0cVHOjcKHpvv7rvTYtANjH6coNmVkcG7HVTEqpnkKKt22QKRIk
Le poème In Flanders Fields
John McCrae.
Version originale
In Flanders fields the poppies grown
Between the crosses row on row,
That mark our place; and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce heard amid the guns below.
We are the Dead. Short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved and were loved and now we lie
In Flanders fields.
Take up our quarrel with the foe:
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high.
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow
In Flanders fields.
Traduction littérale
Dans les champs de Flandre, les coquelicots fleurissent
Entre les croix qui, une rangée après l'autre,
Marquent notre place ; et dans le ciel,
Les alouettes, chantant valeureusement encore, sillonnent,
À peine audibles parmi les canons qui tonnent.
Nous, les Morts, il y a quelques jours encore,
Nous vivions, goûtions l'aurore, contemplions les couchers de soleil,
Nous aimions et étions aimés ; aujourd'hui, nous voici gisant
Dans les champs de Flandre.
Reprenez notre combat contre l'ennemi :
Nos bras meurtris vous tendent le flambeau,
À vous toujours de le porter bien haut.
Si vous nous laissez tomber, nous qui mourons,
Nous ne trouverons pas le repos, bien que les coquelicots fleurissent
Dans les champs de Flandre.
Les régiments
Source : https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/regiment
Le régiment est une unité militaire composée d'escadrons, de batteries ou de compagnies, qui est souvent divisé en bataillons pour les opérations militaires. Un régiment ne comptant qu'un bataillon regroupe de 300 à 1000 individus. Au Canada, le terme « régiment » a une signification complexe. Les régiments d'infanterie sont des organisations administratives mères qui lèvent un ou plusieurs bataillons pour les besoins du service actif. Les régiments blindés ont généralement la taille d'un bataillon, bien qu'ils puissent rassembler à la fois des éléments des forces régulières, des réservistes et du personnel administratif. Au sein de l'artillerie, on organise les batteries en régiments, mais on a l'habitude d'employer le terme régiment pour désigner l'ensemble de l'artillerie. Les régiments du génie et des communications ont aussi la taille d'un bataillon. Les régiments blindés et les régiments d'infanterie sont le centre de la fierté de leurs membres et favorisent entre ceux-ci d'étroites relations « familiales ». Pour l'artillerie, comme pour les autres, c'est le service, plus que le régiment lui-même, qui constitue traditionnellement le cœur de la famille. Dans la pratique, au Canada, la « vie » d'un régiment se mesure au nombre d'années d'existence ininterrompue, même si l'identité d'unités dissoutes (de même que leurs coutumes et leurs titres de gloire) est perpétuée par d'autres régiments avec qui elles partagent un lien clairement établi. C'est surtout ce degré d'ancienneté qui détermine l'ordre de préséance des régiments blindés et d'infanterie.
Consultez https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/regiment pour en apprendre plus depuis les origines médiévales à la structure actuelle, en passant par le nouveau monde, le 19e siècle, le 20e siècle...
Histoire de l’infanterie au Canada
Au Canada, les premiers soldats d’infanterie appartiennent aux unités des armées régulières française et britannique, durant la période coloniale. Les gouvernements coloniaux français et britannique développent un système pour recruter tous les hommes civils d’une certaine tranche d’âge pour des rassemblements annuels et, lorsque nécessaire, pour la guerre. Par la suite, les citoyens sont regroupés pour former les premières unités d’infanterie, qui sont habituellement des compagnies. Ensemble, elles forment la milice. Celle-ci est déployée à plusieurs reprises avant et après la Confédération, notamment pour la Guerre de 1812, les Rébellions de 1837 et 1838 au Bas-Canada et au Haut-Canada, les raids des Fenians et la Rébellion du Nord-Ouest.
À partir des années 1800, les compagnies de milice sont regroupées en bataillons. En 1883, le corps d’école d’infanterie est formé, devenant la première unité d’infanterie de la Force régulière. Plus tard, il formera la base du Royal Canadian Regiment (RCR), la plus ancienne unité d’infanterie au Canada.
L’infanterie canadienne est déployée pour la première fois à l’étranger à l’occasion de la guerre d’Afrique du Sud (Guerre des Boers). Celle-ci crée un précédent pour d’autres contributions de l’infanterie canadienne durant la Première et la Deuxième Guerre mondiale, la guerre de Corée, la Guerre froide, les missions de maintien de la paix dans plusieurs pays et les opérations de maintien de la paix dans les Balkans et en Afghanistan.
Source : https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/infanterie
Le site https://www.canadiansoldiers.com/regiments/regiments.htm est une bonne source de renseignements sur les régiments du Canada.
Les médailles
Médailles et autres décorations honorifiques décernées aux Canadiens et aux Canadiennes qui ont servi.
Source : https://www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/medals-decorations
Historique, sens et signification
Ces médailles évoquent l'image des anciens combattants réunis à l'occasion de la journée du Souvenir. Bien que ces honneurs soient généralement associés au service militaire, leurs équivalents civils existent aussi pour honorer ceux qui ont apporté une contribution exceptionnelle au pays, en temps de guerre, et ceux qui ont posé un geste de civisme hors du commun.
Pour en savoir plus : https://www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/medals-decorations
Vous y trouverez des informations pertinentes. Voici quelque exemples.
Médaille de la Reine pour l’Afrique du Sud
Cette médaille a été décernée à tous ceux qui avaient servi en Afrique du Sud entre le 11 octobre 1899 et le 31 mai 1902... (en savoir plus)
Médaille d’Égypte
Cette médaille de service a été décernée aux officiers et au personnel non-officier de l’Armée et de la Marine ayant participé aux campagnes en Égypte entre 1882 et 1889... (en savoir plus)
Médaille de guerre britannique
La Médaille était décernée à tous les officiers et à tout le personnel non-officier des forces armées canadiennes déployées à l’étranger et parties du Canada entre le 5 août 1914 et le 11 novembre 1918, ou ayant servi dans un théâtre d’opérations... (en savoir plus)
Médaille de guerre de 1939-1945
Cette médaille était décernée à tous les officiers et à tout le personnel non-officier des Forces armées et de la marine marchande en reconnaissance d'au moins 28 jours de service entre le 3 septembre 1939 et le 2 septembre 1945... (en savoir plus)
Médaille de Corée
Cette médaille était décernée aux officiers et au personnel non-officier des Forces armées canadiennes en reconnaissance d'une participation d'au moins une journée à l'effectif d'une unité de l'Armée en Corée, d'au moins 28 jours de participation aux opérations navales ou d'au moins une sortie d'un membre de l'ARC au-dessus de la Corée, entre le 2 juillet 1950 et le 27 juillet 1953... (en savoir plus)
Renseignements relatifs au montage et au port des décorations, étoiles de campagne et médailles
Le texte qui suit vise à expliquer aux titulaires de décorations de guerre, d'étoiles de campagne et de médailles de guerre, notamment celles qui furent méritées au cours de la Première Guerre mondiale, de la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée, la façon de monter et de porter ces décorations et médailles soit sur le costume civil, soit sur l'uniforme.
Liens connexes
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VILLE DE MONTRÉAL OUEST | Nos racines, notre patrimoine
Nos racines, notre patrimoine est un projet pour commémorer les jeunes gens de Montréal-Ouest qui ont vécu parmi nous et qui sont morts pour nous défendre. Depuis le début de ce projet en 2014, des affiches et bannières au nom de 42 vétérans de la Deuxième Guerre Mondiale, ont été installées à travers la ville pour indiquer les lieux où ils vivaient, étudiaient et priaient. Ceci nous permet de réaliser combien notre ville a été touchée par les évènements d’Outre-Atlantique. Par l’entremise d’un circuit de visite pédestre que nous avons élaboré, nous espérons vous sensibiliser à la vie de ces jeunes combattants et au rôle qu’ils ont joué dans ce conflit. Il existe peu de batailles auxquelles les canadiens et les résidents de Montréal-Ouest n’ont pas participé. C’est le sacrifice de ces derniers que nous commémorons le jour du Souvenir et que nous portons dans notre coeur tous les jours de l’année.
Voir toute l'information sur le site Internet
Léo Major, un héros québécois méconnu
Radio-Canada | le 2 septembre 2021 (Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1821369/leo-major-veteran-seconde-guerre-mondiale)
Le soldat Léo Major est méconnu au Québec, alors que ses faits d’armes au cours de la Seconde Guerre mondiale ont fait de lui un héros aux Pays-Bas. Tombée dans l'oubli il y a longtemps, sa mémoire commence maintenant à être honorée. Ce soldat d'exception et tireur d'élite a été surnommé le Rambo québécois par certains. Et 76 ans après la fin officielle de la Seconde Guerre mondiale, soit le 2 septembre 1945, une cérémonie commémorative s'est tenue à Longueuil, où il est décédé en 2008, dans un parc qui porte son nom. "C'est un grand honneur qu'on lui fait en ce moment, un honneur je pense qu'il mérite", se réjouit Daniel-Aimé Major, fils de Léo Major.
C'est aux Pays-Bas qu'il a réalisé son principal fait d'armes. À lui seul, il a libéré la ville de Zwolle, et ses 50 000 habitants, de l'occupation nazie en faisant croire aux troupes allemandes que les Canadiens s'apprêtaient à attaquer. "Léo avec deux mitraillettes et 15 grenades va être capable d'expulser les Allemands de la ville et de sauver tous les habitants qui auraient été pilonnés", Luc Lépine, historien militaire. Le résultat est tel qu'encore aujourd'hui les Pays-Bas commémorent ce héros de guerre.
"Depuis 1970, aux Pays-Bas, tous les ans, il y a une fête pour Léo Major au moment de la libération de la ville de Zwolle. Toutes les écoles font des concours où ils font des textes sur Léo Major, il y a même presque un hymne national sur Léo Major", explique Luc Lépine.
Humilité et discrétion L'homme était humble et discret, à tel point que ses proches n'ont appris ses exploits que des années plus tard. "C'était la première fois que ma femme savait ce que j'avais fait durant la guerre parce que je ne lui en ai jamais parlé, dans ce temps-là je ne parlais pas du tout", racontait Léo Major dans un reportage à la télévision.
Léo Major était considéré comme un humaniste, guidé par les principes d'éthique et de justice. "Il a toujours été là pour la liberté des gens et je pense que s'il devait recommencer aujourd'hui, il le ferait s'il était là", affirme Daniel-Aimé Major. Si les accomplissements de Léo Major demeurent méconnus du public, ils ont néanmoins été soulignés par François Legault lors du 75e anniversaire du débarquement de Normandie. Sa vie, digne d'un film ou d'un livre d'histoire, est désormais mise en lumière à Longueuil, pour qu'il ne tombe plus jamais dans l'oubli.
D'après le reportage d'Aimée Lemieux
Le visage inconnu
Pour marquer le centenaire de l’Armistice, 30 000 portraits ont été recueillis et superposés à l’aide d’un algorithme, pour constituer un visage unique : « LE VISAGE INCONNU ».
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les gouvernements britannique et américain se sont associés à la Bicycle Playing Card Company pour créer un jeu de cartes contenant des voies d’évacuation pour les prisonniers de guerre qui s’évadent vers la liberté. Les cartes devaient être trempées et épluchées pour révéler les plans.
How POWs got playing cards with secret escape maps for Christmas
(Source : Blake Stilwell , We Are The Mighty Dec 22, 2016, 4:07 PM)
US troops and their playing cards have a long history. A large chunk of deployment is spent killing time until the action starts – and card games have long been the weapon of choice for that mission.
The USPCC even made a cheap deck so soldiers in World War I could easily purchase one for the battlefields.
It was the company’s signature brand, Bicycle, that did the most for troops in the field. During World War II, Bicycle teamed up with British and American intelligence agencies to create a deck of cards that peeled apart when wet. The cards then revealed secret escape maps so downed pilots and captured soldiers could navigate their way back to Allied lines.
Once the map pieces were revealed, all it took was to assemble the cards in the right order to get the full map layout.
The decks were given to POWs in Europe through the Red Cross’ special Christmas parcels, which contained (among other things) a deck of playing cards. Cards were a common occurrence among troops, so they aroused no suspicion from the Nazi camp guards.
Decks of these cards are said to have helped at least 32 people escape from Colditz Castle and prompted some 316 escape attempts. No one knows for sure how many decks were produced, but the only two known surviving decks are in the International Spy Museum in Washington, D.C.
La géolocalisation des pierres tombales
Les cimetières sont souvent vastes et la signalisation parfois déficiente. Retrouver une pierre tombale sans avoir en main le plan précis du cimetière est ardu. Pour faciliter la recherche nous avons inscrit les données de localisation ''latitude'' et ''longitude'', dans les fiches des soldats, lorsqu’elles nous ont été fournies.
Cliquez sur 'Afficher la pierre tombale sur Google Maps' et suivez l'itinéraire. Vous serez dirigé à l'endroit voulu.
Pour agrandir une image
...acte de baptême, photo d'une pierre tombale, trombine etc.
Placez votre curseur sur l'image puis ouvrez le menu contextuel (bouton gauche de votre souris). Sélectionnez OUVRIR L'IMAGE DANS UN NOUVEL ONGLET. L'image s'ouvrira à sa grandeur originale sur une nouvelle page de votre fureteur.
L'extension PRINT / PDF
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Félicitations pour tout le travail effectué pour rendre ces données accessibles. Merci,
Lynda B. | 22 février 2024
Félicitation pour votre site fantastique.
Paul C. | 14 novembre 2023
Bonjour,
J’ai consulté, avec bonheur, le site « Devoir de mémoires. Ça a dû être une tâche colossale. Bravo !
Françoise V. | 11 novembre 2023
Madame Tétreault, je viens de publier votre communication sur le profil de la Société d'histoire et de généalogie de Rivière-du-Loup. Je tenais à vous en informer. Quel beau travail vous faites, vous et monsieur Paul-Émile Richard. Je n'ai pu résister à regarder le profil de mon oncle, François Roger Dionne de Saint-Ludger. J'ai été surprise des documents dont vous faites état; c'est la première fois que je voyais la grande majorité de ces informations. Je vais m'empresser d'envoyer le lien aux autres membres de ma famille...
Je vous remercie madame Tétreault. Je signe de mon nom : Élisabeth Dionne | 9 novembre 2022
Je suis allée naviguer sur votre site Web. Comme c'est intéressant...
Félicitations pour votre beau travail de mémoire.
Nathalie Worthington, directrice du Centre Juno Beach | 3 septembre 2022
...merci et félicitations pour votre travail. Très beau ce site, et rassurant de voir que des gens ont cette volonté et sentiment de devoir de collecter et préserver notre mémoire collective.
Marie-France Asselin (petite-nièce du soldat Benoit Charles Eugène Fortin) | 21 juillet 2022
Bravo pour ce travail colossal et indispensable de mémoire!
La Société généalogique canadienne-française | 31 octobre 2021
Un immense travail que cette base de données compilée par Paul-Émile Richard et Josée Tétreault afin de rendre hommage aux Québécois qui ont donné leur vie en service.
Prenez note que leur objectif de marquer le passage de ces combattants, souvent partis trop jeunes, est un long travail, et que tous les noms ne sont pas encore répertoriés.
On peut ainsi trouver certains soldats enterrés après le raid de Dieppe. Ils sont restés là-bas, et c’est maintenant à nous de traverser la mer et d’aller leur rendre hommage.
Soldats canadiens français Dieppe 1942 | 30 octobre 2021
Bonsoir, je viens de prendre connaissance de votre site et je vous dis Bravo, merci c'est fantastique. J'ai vu mes 2 grands oncles inscrits et en tant qu'ancienne militaire moi-même, votre travail et celui de votre collègue me touche.
Je sais que c'est un gros travail, si jamais vous avez besoin d'un coup de main, faites moi signe.
Sincèrement
Linda Simmonds | 30 octobre 2021
Félicitations ! Quel beau projet!
J'irai certainement le consulter et peut-être y contribuer, car le Musée Lac-Brome a plusieurs photographies de guerres dans ses archives.
Encore une fois, bravo!
Anne-Marie Charuest, Archiviste professionnelle | 29 octobre 2021